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en devenoit
en murmurât
; elle
la compe
gne et l'amie
conservoit
; par
sur
cette
le coeur sage
résignation
de son
elle
mari
tous
bienveillance
de ses besoins
du cruel
les nôtres
les droits
de la tendre
, protectrice
, sa vieillesse
amitié
de sa foiblesse
étoit
qu'éprouvent
de lcurs
divergentes
fécondantes
; par sa
à l'abri ct
et honteux
, quand
abandon
la perte
passions
les sources
; la jeune
cette
est naturellement
les objets
cliar
la satiété
dessécher
, les
viennent
de nos Mariages
subordonnée
que
à concevoir
d'un
tes
moyens
épouse
lui étoit
déférence portée
d'alcction
par
seule
toute femme
pour
qui composent
, dans
, concouroient
mari
deux
sa famille
; ct tou
de leurs et
la proportion
à son
bonheur
au bien -être
pour
des enfans
!
. Ol ! le bon temps
les Maris
La vanité
des femmes
peut
que
Françoises
-être résulte pas
, ne s'ac
de la leur con ?
commoderoit
dition
de cette
; mais
- il
n'i .
, qu'elles
ruine
clandestine
- temps
pas long
, et compromet
orgueil
ne s'afflige
association
une
gnorent
leur
santé
leur
souvent
, qui
jusqu'à
leur
que
plus
un état de
fortune
. Leur
caur
, qui s'irrito
, produit
le
rendre
par
. Si , tendres
qui finit
à sa maison
intestine
guerre
mari étranger